L'Antre de la bête

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Zombies à Chartres


Suite Jour 1 : Zombapocalypse vu par le frère

Journal de survie 1er jour.

 

Ce matin, je me réveille la tête, un peu dans le sac, et comme quasi tout les matins premier réflexe, allumer mon ordinateur.

Je commence à check mes mail, et un petit message apparait sur ma messagerie instantané, "Rejoins nous vite chez le Blond, c'est la merde, on n'en croit pas encore nos yeux mais, des pleins de monde semble touché par un mal qui les rend cannibale. Viens vite".

 

- Heu la je me dis ok, il y en a qui on pas encore bien cuver.

 

Mais bon par acquis de conscience, j'allume la TV, et la toutes chaines sont en mode flash info, "Alerte d'urgence, la sécurité nationale est menacé, rester chez vous, en attendant d'autres instructions". Je reste scotché sans réagir pendant plusieurs minutes,

 

- Mais purée ! Que se passe t'il c'est pas possible.

 

J'arrive à me décrocher de la TV, et commence à regarder par ma porte fenêtre, mais de la ou je suis rien de bien particulier à l'horizon. Puis je commence à voir de loin un mec vraiment bizarre, titubant, mais bon, je me dis un autre mec qui cuve son vin. Je reviens sur ma TV, et je commence à me dire il doit vraiment y avoir quelque chose. J'essaie d'appeler ma femme, qui était rester dormir chez une amis sur Paris, et rien, j'essaye mon frère dis le Frisé, rien non plus, mes parents idem.

 

Tout ça commende à me glacer le sang, et d'un coup un sursaut m'envahis, "mode survie activé". Je commence à sortir tout les sacs et valise que je vais pouvoir emporter dans ma voiture. Nourriture, médocs, vêtements, piles, radios, outils, tout ce qui me passe par la tête. Je prépare tout ça, et je me rends compte qu'il me faudra plusieurs navettes, pour apporter tout cela dans me voiture, et la voiture, elle est à 50m sur le parking extérieur.

 

Je regarde par la porte fenêtre, clés en main, et je sors, à l'affut du moindre bruit. J'arrive à me voiture, je démarre et la je remarque que le mec bizarre est toujours la, titubant, regardant le sol. Mais franchement la je n'ai pas le temps de faire ma BA du jour, je déplace ma voiture pour la placer devant ma porte fenêtre. Je coupe le moteur, reprend mes  clés et rentre en fermant également ma porte d'entrée. et refait un tour voir si je n'est rien oublié.

 

"BLAM !"

 

Je me tourne vers la porte et la je vois le gars qui était sur le parking entrain d'essayer de rentrer en cognant sa tête contre la porte. Le mec semble complétement hagard, les yeux rouges, et une bave dégoulinante de sa bouche. J'essaye de l'ignoré mais il insiste et fini par laisser de longue trainé de sang sur la vitre. Je commence à comprendre, c'est vraiment l'infestation, un moment de panique monte en moi, "ma famille est tel dans cet état, peu être moins même, suis je en train de changé". Mais la poil aux pattes le CKC de ma femme repère ce qui commence de plus en plus à ressembler à un zombie et lui aboie dessus. Ca fait tilt dans me tête, plus le temps de réfléchir c'est l'heure de l'action.

 

zomb02.jpg

 

Mais comment faire, il me barre la route pour atteindre mon véhicule. Je décide de me fabriquer une arme, je prend un manche de balai, l'affuble d'un gros couteau de cuisine au bout, mais bon c'est facile de se dire, je vais le planter, mais la en suis-je capable.

 

Je dépose mon arme improvisé est décide de prendre un autre simple balai dans un premier temps. J'ai la chance d'avoir plusieurs porte fenêtre je prend donc ma chance et décide de sortir par une autre qui donne sur le même côté et de charger le mec avec mon balai.

Je charge, malheureusement le maniement du balai est un art qui se perd. ^^ Et je me plante complètement, J'évite tout de même le réflexe d'attaque, et tente à défaut de le cogner de le tenir à distance voir le faire tomber. Ce qui fini par arrivée, Je m'acharne dessus et mon balai fini par se planter dans son flanc, ne cherchant pas à le récupérer je me dis que cela va au moins le ralentir. et repars prendre mes affaires.

 

 

Je charge tout en 4ème voir 5 ou 6ème vitesse en surveillant du coin de l'oeil le mec, qui n'arrive pas à se relever, je laisse un mot derrière moi pour ma femme, je prends le chien. C'est bon la voiture est pleine, et on peu partir.

 

Mais par ou passer, un bon cinéphile, la constante des catastrophes c'est l'encombrement des routes, je décide pour rejoindre mon frère de passer par la campagne bien roots, il sera toujours possible de contourné à travers champs, pour évité un incident sur la route.

 

Durant mon trajet, je croise plusieurs personne qui semble errer sans but dans les rue des villages, beaucoup de personnes qui semble également quitté leur logement en quête d'un endroits sur ou passé cette journée.

 

Je fini par arrivée par contournement dans ma ville natale pour rejoindre mon frère, malheureusement je ne peu directement accéder à la maison du blond, celle-ci étant sur une rue sans possibilité de fuite rapide. Je me gars donc non loin de là proche d'un étang un peu en dehors du regards des gens.

 

Je décide de ne prendre que mon sac à dos, mon super balai-couteau et poils aux pattes.

 

Suivant le cours d'eau qui passe devant chez le blond j'arrive à son portail fermé. Je décide de hurler pour les appeler. Ils m'ont entendus, le Blond viens m'ouvrir. Premier soulagement de la matinée, enfin un visage amical. Mais la pression ne va pas retomber pour autant...*

 

Le frère 1er jour (ceci est en parallèle du récit de Toto)


15/12/2016
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Introduction "ZOMBAPOCALYPSE à CHARTRES"

Bonjour à tous, aujourd'hui introduction, à notre jeu de rôle personnalisé.

 

Il s'inscrit dans la lignée des séries et films d'apocalypse causé par des méchant zombies qui sortent pour l'instant dont ne sait où.

 

Nous allons vous faire partager notre aventure au grès des récit de nos survivant.

 

Bienvenue dans ZOMBAPOCALYPSE à CHARTRES

 

Logo Zombie appocalypse Chartres1.jpg

 

 

Un point sur les règles

 

Notre action prend place dans l'agglomération Chartraine, et commença dimanche 4 décembre 2016, 20 jours avant Noël c'est le début de l'apocalypse.

Nous jouons notre propre rôle, donc avec des caractéristiques très faible, utiliserons des dés 100 pour tout les tests (stress, combat, etc...). Nous utiliserons notre propre connaissance, et suivront l'environnement qui nous entoure a travers street views. ^^

Nous serons maître du jeu à tour de rôle, notre survivant sera à ce moment la géré par les autres joueurs.

Pour l'instant c'est le début donc les zombies ne sont pas encore "trop" nombreux, mais plus tard nous mettrons en place une grille d'apparition des zombies (genre, nombres), actuelement dès que nous croisons quelqu'un sur Street view, il y a une chance sur 2 qu'il soit un zombie.

 

Les joueurs

 

Nous sommes actuellement 4 joueurs et un chien ^^ , ce n'est ni un pitbull, ni un beauceron ou tout autre du genre, juste un petit CKC (je vous laisse deviner qui se cache sous ses piols).

 

Toto, Le Frisé, Le Frère, le blond et bien sur poils aux pattes.

 

L'aventure commence ici et maintenant

 

Journal de survie, 1er jour. Souvenirs de Toto.

Je me lance dans l'écriture de ceci ... Parce que j'ai peur. J'ai peur pour ma vie.
Samedi soir on est allé boire comme à notre habitude, mais le réveil le dimanche fut ... compliqué. Comme d'habitude j'me suis réveillé plus tôt que les autres, et me suis posé sur le pc. Au début j'y croyais vraiment pas. "Chaos en France", "Restez chez vous, cloitrez vous, et n'en sortez surtout pas". On y a tous pensé, on en a tous rêvé, une apocalypse, pour pouvoir se battre, pouvoir changer le train train. Mais là, c'est beaucoup trop.
Reprenons le fil.
Donc je me réveille plus tôt que les autres, et je lis sur internet que c'est le chaos partout, que personne ne peut expliquer ce qu'il se passe. J'en parle aux potes, en les réveillant. On sait pas trop quoi en penser, mais comme tout les sites un peu sérieux en parlent, bah on commence à "se mettre dans l'ambiance" (nous sommes des joueurs de JDR, et ce genre de scénario aurait pu être à 100% un de nos jeux de role). On fait le tour de chez moi, on fouille tout ce qu'on peut prendre, en mode survie, puis on va vers nos voitures, pour retrouver une de leur maison. Comme on aime ce genre d'histoire, on sait optimiser un petit peu ce qu'on fait : On prend de quoi manger, surtout de quoi boire, et de quoi tenir un petit peu si il le faut.
On sort de chez moi, on croise une première personne.

 

On lui fait le coup de la gendarmerie (Qui est un vrai coup, le blond est gendarme !). Elle ne comprend pas et fait ce qu'on lui demande. Est-ce que tout ce que j'ai lu au réveil était une blague ? On se dirige vers nos voitures donc, et devant la cathédrale ... On se rend compte qu'il se passe quelque chose.
Aucune idée si c'est une blague ou non, mais il y a beaucoup, beaucoup de monde. On voit qu'ils rentrent, petit à petit, mais purée ce que c'est le bordel. On monte dans la caisse du frizé, et on avance jusqu'à la borne pour sortir du centre-ville. Là déjà, c'est un peu plus le bordel. Impossible de dire ce qu'il s'est passé à la cathédrale, mais il y a eu gros mouvement de foule, ça court de partout, à la direction opposée du centre de la foule. Donc évidemment, c'est le bordel à la borne pour sortir, pour rejoindre la caisse du blond. On y arrive, et là déjà, je vois un truc qui m'a fait déglutir très péniblement mon lendemain de soirée.


Une meuf qui arrache le coup de quelqu'un. C'était assez horrible, j'évite les détails parce que je sais que je vais me relire, et repenser à ça; ça va m'empêcher d'avoir un sommeil serrein. Mais c'est la première fois que j'avais la confirmation que ce que disait internet n'était pas une connerie. Je viens de voir une sorte de zombie bouffer le cou d'un humain.
On file prendre la voiture du blond, on avance dans quelques rues (c'est réellement le bordel, les gens courent de partout), et on tombe sur une vieille qui est en train de bloquer le passage parce qu'elle remplit le coffre de sa caisse. On recommence avec le coup de la gendarmerie, cette débile panique plus qu'autre chose, et on entend un énorme bordel derrière nous, assez loin en haut de la rue. On est dans la voiture, donc assez en sécurité quand même. On regarde derrière nous ... Une horde de gens qui courent dans le sens ou notre voiture avance. Sauf que de temps en temps, ceux de derrière tombent, et ne se lèvent pas.


La panique commence peu à peu à monter. On demande à la grognasse de se grouiller, son mari s'amène, ils comprennent que c'est dangereux de rester et finalement ils avancent avec leur voiture. J'aime pas dire de gros mots, mais putain ce que je flippais à ce moment là. J'arrivais pas à digérer la vision du coup arraché, et là il y en avait plein qui potentiellement nous fonçait dessus ! La voiture qui avance, ça fait plaisir quand même, de se dire qu'on va pouvoir être protégé, et qu'on va pouvoir bouger loin pour trouver un coin tranquille, en dehors du centre ville. Bah là encore, PUTAIN, des bouchons de partout ! On a été trop cons de croire qu'on était les seuls à vouloir tracer avec les voitures ! Désolé j'ai encore été vulgaire.


On sort des voitures, en panique, chargés comme jamais, le blond passe devant, on voit des trucs vraiment chelou un peu partout. On trace un max pour se jarter du bouchon. On voit encore plusieurs trucs assez gore, mais on trace jusqu'à chez le blond. Euh, chez le frisé d'abord. Nan le blond. Purée c'est le bordel dans ma tête, j'ai tellement du mal à croire ce qui arrive, et en même temps peur. Peur de jamais revoir un tas de monde, peur de me dire que si ça se trouve ils vont péter la porte d'entrée du blond et qu'on va crever, ou devoir bouger encore, sans dormir, sans se reposer. Je suis déjà usé de ma cuite d'hier... Quel con d'avoir autant picolé. Enfin donc on arrive chez le blond.


Sa famille est morte. On les découvre petit à petit. On sait pas quoi dire, avec le frizé. Lui est son pote depuis longtemps, mais là ... Y a rien à dire. On les enterre. C'est long, c'est chiant, je suis crevé, je suis usé, mais je suppose que s'ils avaient été les miens j'aurais voulu faire pareil. Ne serait-ce que par sécurité. Je suppose que les zombies, ça peut sentir de la viande qui pourrit ? J'en sais rien du tout en fait, et je m'en fous. On les enterre, point barre, on discutera après. Les enterrer, ça use, et ça réchauffe, de faire un truc physique. Je regarde pas les corps plus qu'il ne le faut. Je les connais pas du tout, mais je vois des membres d'une famille qui aurait pu être la mienne morts. Le moral est un peu à 0 à ce moment là, faut être honnête.


Bref on fouille la maison, on trouve de quoi s'équiper, sur le pc on envoie un message au frère frizé pour lui dire de ramener sa tronche ici, parce que plus on sera nombreux, plus ça ira. Plus c'est rassurant. On fouille la maison et tout, et le frère arrive. * On voit à sa tronche qu'il a compris que c'était pas une blague à grande échelle. Qu'est-ce qu'il a vu, qu'est-ce qu'il a fait, j'en sais rien, mais ça le met dans le même sac que nous : C'est la merde. On se décide de quoi faire : Le mieux est d'aller dans la maison des frangins pour récupérer un max de truc qui peuvent nous être utiles. Ensuite on se pose là pour le moment, chez le blond : Sa barraque est pas super visible depuis la rue, on a un cours d'eau à côté, un lopin de terre au cas où ... Pas le temps de se poser vraiment. On repart.


Le frère est venu en caisse, mais il l'a laissé loin. On est obligé de repartir à pied, et on s'équipe, au cas où. Dans Minecraft, j'adorerais me battre à la hache, je trouve ça cool. Bah du coup j'ai pris une hache. C'est beaucoup plus lourd qu'on ne le pense. On va jusqu'à la voiture du frère, on débat vivement sur quoi faire : Aller chez les frangins ? Rapatrier tout ce qu'il y a dans la voiture plein de truc chez le blond ? On décide d'aller chez les frangins. Évidemment, on en croise sur la route. Avec le frizé, on se regarde, et on fonce en gueulant comme des putois, pour se donner du courage, et parce qu'on se sent revigoré d'avoir un défouloir, et on se sent fort d'avoir une arme. Il le plante avec sa fourche, moi la hache dans l'épaule... Et ce zombie, ce truc, on a l'impression qu'il s'est rien passé pour lui. Je commence à baliser sévère.


Heureusement qu'il tombe par terre ce zombie, et que le frizé le maintient, je peux lui enfoncer la hache dans le crâne. C'est fait, je suppose, il bougera plus ? Putain j'en sais rien, et là on commence a se rendre compte que les films, les séries ou les jeux ou les gens en butent par paquet de 40 sans broncher, bah ils sont vachement plus de couille que nous. Ça viendra peut-être, hein, mais là tout de suite, j'ai envie de dégobiller, de me barrer en courant. Mais j'le fais pas. Déjà que je suis pas serein, qu'est-ce qui se passerait si le frizé faisait ça ? Pire, le blond, qui est un peu plus entrainé que nous, qui semble plus tenir le coup que nous, si lui il pétait un cable ? Il ne l'a pas fait alors n'en parlons pas.


On se gave de tout ce qu'on peut chez les frangins, et on repart en vélo, et avec une caisse. On pose tout avec l'autre voiture, et on repart jusqu'à chez le blond. Sur le chemin on en croise. On les évite. Personne n'a envie de les défoncer, comme on aurait pu le dire 2 jours avant. Si tu m'avais demdandé "Tu ferais quoi en cas d'apocalypse de zombie ? Bah je leur défoncerais tous la gueule, armé ou à mains nues." Ah ouais ? Bah c'est drôle, mais là j'ai envie de rien faire du tout, juste de partir. Donc on en évite un max, y en a un que je dois bousculer sur le vélo parce que je l'avais pas vu ce gros batard. Pardon. Et donc on arrive chez le blond, quand on en voit 2 devant chez lui.


Pas de problème on sort les armes. Ah bah non, parce qu'on est des gros CONS (pardon), on les a laissé aux voitures ! On flippe on flippe, mais pour la première fois on en voit devant nous, qui galèrent trop à nous arriver dessus ... J'me dis que je pourrais peut-être en tracer un, au cas où ? J'en sais rien, et c'est pas le moment purée !
Ces deux trucs nous avancent dessus, ils puent, les voir c'est horrible ... Un joggueur tout pâle (mais pas genre gotique sexy pâle, nan, plutôt genre cadavre hideux qui pue pâle) qui rotent du sang qui avance sur toi, ça t'étanise. Bah heureusement que le blond gère mieux le stress que moi, parce que lui est moins con, il a toujours son arme, et il me sauve la vie. Et s'occupe du deuxième.


On file chez lui, et on se terre. On ferme tout à clef, on met un meuble devant l'entrée. Dans la caisse, on à entendu a la radio que des autorités passeront pour aider les survivants. Bah ils ont pas intérêt à passer dans la nuit, parce que je ne leur ouvrirais pas. Enfin, on évite les décisions seul. D'ailleurs, on cache tout l'alcool dans un meuble qu'on ferme, pour éviter les conneries, je suppose. J'ai pris une cuite la veille, mais là, tout oublier avec de l'alcool, c'est assez tentant.


On décide de ne pas rationer du tout pour ce soir. On a besoin de réconfort, et bouffer comme des porcs ça nous en donne. Enfin moi ça me fait du bien. Le repas est plutôt méga calme, j'pense que tout le monde digère ce qu'il a fait, vu et eu aujourd'hui. On décide des tours de garde pour la nuit, au cas où. Si quelqu'un voit qui que ce soit, ou quoique ce soit, on réveille tout le monde et on avise.


Le frizé se demande si l'un de nous va se transformer cette nuit. C'est drôle que ça ne soit pas drôle du tout putain, on doit se serrer les coudes, pas se mettre à douter ! (désolé). Je suis en train de finir mon tour de garde. Je dois réveiller le frère bientôt. J'ai tellement envie de dormir. Mais je sens que je vais tellement pas y arriver. J'aimais bien dire à une de mes cousines "I have no fear". C'était peut-être le cas avant, ça ne l'est plus. J'essayerais d'écrire un peu chaque soir, au cas où ça puisse aider les gens qui tombent dessus.

 

 


08/12/2016
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